Le déclic de Marius
Avant septembre 2024
Marius passait des heures sur chaque dessin, mais quelque chose clochait toujours. Les proportions partaient en vrille après vingt minutes. Il effaçait constamment. Chaque séance se terminait par une frustration grandissante — l'impression de stagner malgré les efforts.
Aujourd'hui en 2025
Il dessine trois fois plus vite et mieux. Le changement? Il a arrêté de zoomer sur les détails dès le début. Il commence par des formes simples pendant cinq minutes, vérifie les angles, puis seulement après il ajoute les nuances. Ses portraits ressemblent maintenant aux modèles.